La bienveillance des ours

Virginia Pesemapeo Bordeleau et François Lévesque explorent ici les méandres de leur création, se laissent surprendre par le flot des réminiscences de l’enfance à Senneterre, s’accueillent dans leurs similitudes mais plus encore dans leur altérité. Au départ de cet échange épistolaire, ils se connaissent à peine, sinon par leurs œuvres respectives. Au moment de signer leur dernière lettre, les liens entre eux sont indéfectibles.

« L’enfance est le terreau de notre imaginaire. »
– Virginia Pesemapeo Bordeleau

« Dans le bois, il faut prendre le temps d’y regarder à deux fois avant de réaliser qu’un sentier s’ouvre bel et bien devant soi. »
– François Lévesque